Le tour du monde des Piche, c’est parti !
Bangkok, Bali, Sydney, Nouvelle Zélande, Hawaï, San-Francisco, New-York, Paris, les Piche entament leur migration annuelle. La plus longue en si peu de temps (2 mois).
- Migration, migration comme tu y vas lance Rose à Raoul. Tu en connais beaucoup des migrants qui prennent successivement dix avions pour effectuer le tour de la planète et finalement revenir chez eux ?
- Je parle de migration pas de migrants
- Et le bilan carbone de cette petite balade, tu y as pensé ? 30 tonnes de CO2 au bas mot. Bravo !
- Si nous ne prenions pas ces avions ils partiraient quand même. Le bilan CO2 serait le même.
- Oh ! La mauvaise foi !
- Et puis en matière de bilan carbone, j’ai du crédit. L’industrie de l’habillement participe pour 25% aux émissions de carbone devant la totalité des moyens de transport utilisés dans le monde : avions, autos et bateaux confondus.
- Alors ?
- Eh ! Bien ouvre ma penderie et regarde ma garde-robe. Si tout le monde avait la même, l’industrie de l’habillement n’émettrait pas plus de CO2 qu’une centrale nucléaire.
- Provoc !
Attablés devant un délicieux mets thaïlandais (la cuisine thaï est la meilleur du monde, après la française naturellement) Rose et Raoul Piche débutent leur périple par Bangkok une ville qu’ils affectionnent, au climat doux et aux gens aimables. Bien plus que les PIche discutant d’écologie entre eux.